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Quelles informations doivent figurer sur une étiquette d’huile d’olive ?

Vous ambitionnez de commercialiser votre propre huile d’olive très prochainement ? Quelle bonne idée ! Voilà un produit qui remporte de plus en plus de succès.

Pour atteindre votre objectif cependant, vous devrez forcément vous pencher sur la question de l’étiquette et des informations à y renseigner. Mais quelles sont-elles ? Et comment être sûr de ne rien oublier ?

Spécialiste de l’étiquette autocollante, Rubaco dresse pour vous la liste des mentions obligatoires d’une étiquette d’huile d’olive !

Les 8 mentions qui composent une étiquette d’huile d’olive

Mention n°1 : la provenance

On accorde de plus en plus d’importance à l’origine des produits qui se trouvent dans notre assiette. C’est donc pour répondre à cette exigence que l’Union Européenne a imposé en juillet 2009 l’obligation de préciser les lieux de récolte des olives et d’extraction.

Attention, vous devez vous montrer précis dans la désignation. Il s’agit non seulement d’indiquer la zone de récolte, mais aussi le moulin dans lequel le processus d’extraction est réalisé.

À noter que le respect de cette directive permet l’ajout de certaines appellations d’origine contrôlée et indications géographiques protégées telles que « Origine France », « huile d’olive de Provence » ou « huile d’olive de Corse ».

Mention n°2 : la dénomination commerciale

Cette mention ne concerne pas seulement les huiles d’olive, mais vaut pour tous les produits mis en vente. En effet, il est impératif pour le consommateur de savoir ce qu’il est sur le point d’acheter. En théorie, cela paraît simple. Dans les faits, il n’est pas toujours facile de s’y retrouver parmi toutes les appellations disponibles.

Dès lors, pour indiquer sur votre étiquette « huile d’olive extra vierge », « huile d’olive vierge », ou « huile d’olive de grignons », votre produit doit correspondre aux normes européennes. Celles-ci se basent sur plusieurs facteurs comme l’indice de peroxyde ou encore le taux d’acidité.

Nous vous proposons un petit récapitulatif des huiles d’olive destinées à la consommation :

  • Huile d’olive extra vierge : voilà une appellation de qualité qui ne manque pas de faire vendre, raison pour laquelle elle est strictement réglementée. Le taux d’acidité de ce genre d’huile est obligatoirement inférieur à 0,8° ;
  • Huile d’olive vierge : elle est similaire à la première, néanmoins elle est de moins bonne qualité, en partie parce que son taux d’acidité peut aller jusqu’à 2° ;
  • Huile de grignons d’olive : elle est issue d’un mélange d’huiles d’olive vierges et d’huiles de grignons raffinées.

Pour obtenir davantage d’informations, vous pouvez bien évidemment consulter la documentation correspondante sur Internet.

Mention n°3 : les informations de contact

L’objectif est de permettre au consommateur d’identifier très clairement l’organisme en charge de la commercialisation, qu’il s’agisse d’un petit producteur ou d’une entreprise internationale. Le nom et l’adresse de ce dernier doivent ainsi apparaître sur l’étiquette de l’huile d’olive.

Attention, il ne faut pas confondre le pays d’origine de cet organisme avec celui du produit. Ce sont deux choses bien distinctes. Toutefois, ils peuvent tout à fait coïncider lorsque l’huile d’olive est le fruit d’un producteur local. Si tel est le cas, n’hésitez pas à indiquer « producteur » sur l’étiquette, ce qui ne manquera pas de rassurer le client sur la provenance des olives.

Mention n°4 : la date de péremption

La date de péremption recouvre deux possibilités :

  • La date de limite de consommation (exemple : « à consommer jusqu’au 02/08 ») : il est vivement déconseillé de consommer un produit après cette date, car il serait potentiellement dangereux pour la santé ;
  • La date de durabilité minimale (exemple : « à consommer de préférence avant le 02/08 ») : il est possible de consommer sans danger le produit après la date indiquée, néanmoins ses qualités gustatives et nutritives ne seront plus optimales.

L’huile d’olive appartient à la seconde catégorie. Vous devez donc mentionner sur l’étiquette sa date de limite de consommation.

Mention n°5 : les conditions de conservation

En règle générale, l’huile d’olive doit être conservée à l’abri de la chaleur, de l’air et de la lumière. De plus, la température de la pièce où elle est entreposée ne doit pas descendre en-dessous de 13°C. À défaut, elle risque de se solidifier !

Mention n°6 : le numéro de lot

Pour des raisons de traçabilité, l’étiquette de chaque bouteille d’huile d’olive mise en vente doit porter un numéro de lot unique.

Mention n°7 : le volume

Là encore, vous devrez faire preuve de précision ! Qu’elle soit exprimée en litre, en centilitre ou en millilitre, la quantité doit être indiquée sur l’étiquette !

Mention n°8 : le numéro d’agrément opérateur FranceAgriMer

Si vous vous êtes lancé dans la commercialisation d’huile d’olive, vous êtes certainement déjà au fait de cette obligation légale. Une fois obtenu, le numéro d’agrément doit ainsi figurer sur l’étiquette de vos bouteilles !

Prêt à créer votre étiquette d’huile d’olive ?

Maintenant que vous connaissez toutes les mentions à indiquer sur vos étiquettes d’huile d’olive, il ne vous reste plus qu’à les créer. Vous ne savez pas par où commencer ? Alors, faites confiance à Rubaco pour vous guider avec efficacité !

Spécialisés dans la conception et l’impression d’étiquettes autocollantes, nous vous accompagnons dans cette folle aventure. N’hésitez pas à demander une création graphique unique !

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